Chaque soir, Liora ravivait le bombe dans l’âtre rond en plein coeur de son atelier. Elle y jetait les fragments de cuivre en vacarme, laissant les flammes danser à proximité des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un pratique. C’était une aspiration lente, une habitude apparue d’un acte ancien répété constamment. https://voyance-gratuite-en-ligne25688.blogs-service.com/65097586/les-silhouette-qui-persistent