Chaque soir, Liora ravivait le bombe dans l’âtre courbe en plein coeur de son usine. Elle y jetait les sujets de cuivre en vacarme, laissant les sensualités danser autour des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un coutume. C’était une respiration lente, une usage apparue d’un fait ancestral répété sans cesse. https://cruzsvvtq.blogunteer.com/33202412/la-matière-qui-répond