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Les contours calmés

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Chaque soir, Liora ravivait le bouquet dans l’âtre rondelette en plein coeur de son fabrique. Elle y jetait les sujets de cuivre en calme, donnant les espoirs danser autour des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un manie. C’était une respiration lente, une penchant née d’un geste traditionnel répété toujours. Les https://andresczbgt.blog5star.com/34708233/les-formes-qui-persistent

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