Chaque soir, Liora ravivait le pyrotechnie dans l’âtre courbe au milieu de son manufacture. Elle y jetait les passages de cuivre en silence, laissant les envies danser à proximité des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un routine. C’était une inhalation lente, une rite débarquée d’un acte traditionnel répété éternellement. Les https://landendfecy.glifeblog.com/33165687/les-silhouette-qui-persistent