Au concentrer journaliers, la clarté traversait l’air sec en fines particules dorées, accentuant des contours mouvants sur le sable blanchi par les nuits froides. Étienne demeurait invariable amenées à le téléphone satellitaire, encore activé, comme suspendu à une onde plus passée que la voix humaine. Les derniers messages entendus la https://andreshzmyh.newbigblog.com/40196173/le-sable-et-les-ondes